Chère lectrice, cher lecteur, bonjour,
Avec Pline le Jeune, avec notre goût dans l’aéronautique pour les sigles et les abréviations, on a tendance à l’appeler PLJ, nous avons commencé à passer en revue nos débuts de blogueurs et pour prendre les choses par le début, à lui expliquer comment nous nous étions retrouvés avec les surnoms d’Athos, de Porthos, de D’Artagnan et d’Aramis.
Vous, nos lecteurs de la première heure, vous le savez. Mais si vous êtes nouveau lecteur, ça peut vous intéresser comme cela intéresse PLJ. Nous n’avons toujours pas le lien avec le nom du chien (voir notre article précédent), mais on ne désespère pas de le connaître un jour.
Donc, lui avons-nous dit, à une époque qui n’est pas si lointaine, nous étions 4 dans le hangar : un Robinson 44, Athos, parti, un Hughes 500, Porthos, tout de rouge vêtu, parti et nous deux restant, Aramis, un Agusta Bell 206 et moi, d’Artagnan, un Hughes 300.
Comme nous étions 4 et que les trois mousquetaires étaient 4, on s’est retrouvé chacun avec le surnom d’un mousquetaire selon nos caractéristiques et allures respectives. Quand nous nous sommes retrouvés à deux, Aramis m’a dit que ça lui plairait de conserver ce surnom ce qui fut fait.
Vous pourriez nous dire que nous signons de nos vrais noms mais les surnoms, c’est plus dans le corps de nos articles. C’est aussi entre nous.
Nous lui avons dit qu’il y avait aussi à tenir compte de Boule de gomme et de Mystère, nos moteurs respectifs pour lesquels nous avions Aramis et moi conçu une chanson que nous interprétions à la demande.
C’est que, certes sans moteur, on peut atterrir (voir notre article « ça plane aussi ») mais on ne peut pas décoller et fidèles au poste, ils nous apportent toute la puissance dont on a besoin (voir nos articles sur le sujet de la puissance utile c’est à dire utilisable et de la puissance nécessaire). Pour moi, Boule de gomme est un moteur à piston à injection directe et Mystère, pour Aramis, est un moteur à turbine à gaz.
Notre chanson est parue sous le titre « Enchanteur » dans notre blog. Elle a beaucoup plu à nos moteurs. Il paraît qu’elle fait merveille pour tous les amateurs de bel canto. Comme c’est sur un air de tango et qui plus est, un air de tango très connu, elle n’est pas difficile à apprendre.
Vous êtes autorisés (es) à la chanter quand et où il vous plaira.
Des qui ne la chanteront pas, ça, on en est sûrs et certains, ce sont les Pat’en’rond, pat pour patins et Pat’en’rond comme le chat d’Hermione dans Harry Potter. Les Pat’en’rond pour ceux qui nous lisent régulièrement étant comme vous diriez, des empêcheurs de tourner en rond.
Donc, pour en revenir au blog, il s’agit de promouvoir l’intérêt du vol en hélicoptère et tout le monde n’ayant pas le temps de se former au pilotage, de promouvoir l’intérêt de s’essayer, le temps d’un vol, au dit pilotage. C’est tout le sujet des vols d’initiation.
Avec Pline l’ancien qui sait tout et qui s’intéresse à tout ce qui vole, nous étions à même de promouvoir l’intérêt du vol en hélicoptère et tout l’environnement du vol en vulgarisant un max pour gommer l’essentiel de la difficulté.
C’est que comprendre comment un hélico fonctionne, tient en l’air, avance, recule… etc dans son environnement requiert de nombreuses connaissances théoriques qui sont un apport non négligeable au pilotage.
Nous lui avons dit aussi que nous décrivions le blog comme de la vulgarisation décomplexée et joyeuse pour toute personne intéressée ou non par les hélicos.
Malgré tous nos efforts, et nous ne ménageons pas nos efforts, nous n’avons pas encore atteint l’objectif d’intéresser tout le monde. Nous rêvons donc d’un blog qui serait non seulement unique au monde – c’est le cas aujourd’hui – mais aussi universel. Ce n’est pas encore le cas. Bref, comme il le voyait nos ambitions étaient stimulantes, notre enthousiasme intact, notre plaisir d’écrire aussi.
PLJ, (habituez-vous, ça va être plus simple que Pline le jeune), nous a dit que l’appellation de mousquetaires depuis Alexandre Dumas baptisait tout un tas de choses et nous a suggéré de nous appeler plutôt les MOUSQU’hélicoptaires.
YES ! nous qui aimons ce qui sort de l’ordinaire – comme nous – MOUSQU’hélicoptaires, ça nous ira très bien.
Ce petit jeune a de l’avenir dans le hangar.
A bientôt
Le Hughes 300 et le Bell 206
