Welcome to HéliCharentes
Entrez avec nous dans la troisième dimension
Hello,
Je me présente : je suis Zéphir, la mascotte
Je suis heureux et très honoré de vous présenter l’Héli-club.
Vous souhaitez vous renseigner sur nos activités ? Vous avez envie de nous rejoindre ?
Contactez-nous ou venez nous voir. On sera là pour vous. Dans notre club, vous êtes chez vous.
L’Héli-club
Notre Héli-club est dédié à la promotion des activités aéronautiques au travers de l’apprentissage du pilotage d’un hélicoptère.
Héli-club en association loi 1901, nous vous accompagnons pour des formations Ab initio pour la licence de pilote privé sur hélicoptère HUGUES 300, pour les qualifications de type sur hélicoptères HUGUES 300 et Agusta BELL 206. Nous vous proposons aussi des vols d’initiation au pilotage pour éprouver les sensations d’un vol en hélicoptère et être aux commandes le temps d’un vol.
Nos instructeurs
Il faut une qualification spécifique obtenue après une solide formation pour être instructeur et un nombre important d’heures de vol.
Avec François et Alexandre, nos deux instructeurs, vous êtes entre de bonnes mains.
Ils vous accompagneront pour les briefings avant et après vol. Ils vous passeront les commandes sur les phases de vol quand c’est possible lors des vols d’initiation. Ils vous permettront de devenir autonomes lors de votre formation de pilote. Ils seront disponibles pour échanger tout au long du vol et vous aideront dans l’apprentissage du pilotage tant théorique que pratique.
Ces merveilleuses machines
On prête à Léonard de Vinci d’avoir imaginé le principe de la voilure tournante.
Des voilures tournantes, il y en a de toutes sortes. Nous, on en a deux : le HUGUES 300 et l’Agusta BELL 206.
Sur le premier, on apprend à piloter. Sur les deux, on peut faire des qualifications de type et des vols d’initiation.
Ce qui les distingue est à découvrir dans nos pages. Mais le mieux est encore de les voir en vrai et de prendre les commandes le temps d’un vol d’initiation avec Alexandre ou François. Une façon extraordinaire de voir la Charente-Maritime à 180 °.
Le VRAI du FAUX, on vous dit tout
Vous avez une idée de ce que vous aimeriez faire ? Vos copains font de l’avion mais vous, ce qui vous fait rêver, c’est l’hélicoptère. Vous n’êtes pas décidé(e) ?
Pour vous aider, on vous dit tout sur le vrai du faux.
Le pilotage d’un hélicoptère serait complexe ou autrement dit, le pilotage d’un avion serait plus simple :
C’est vrai. Le pilotage d’un avion est plus simple pour une raison essentielle : la stabilité de la machine en vol.
L’avion, une fois en l’air est stable et vous pouvez lâcher les commandes sans souci. Par exemple pour consulter votre carte aéronautique.
On ne vous recommande pas de faire l’essai ‘pour voir’ sur l’hélicoptère. Sauf si vous voulez vous faire très peur !
L’hélicoptère est une machine par nature instable et du fait de sa nature instable, il nécessite d’avoir les mains constamment sur les commandes. Il lui faut des gestes très doux et de très faible ampleur. Sur le cyclique, on dit que l’amplitude des mouvements ne doit pas dépasser la taille d’une pièce de 2 euros ! Mais pour moi, c’est encore trop. Je recommande l’épaisseur d’un cheveu.
Votre instructeur va vous le répéter : faire de toutes petites corrections, sentir plutôt qu’agir. Si ça ne vient pas du premier coup, vous l’apprendrez.
Pour piloter un hélicoptère, il faut commencer par l’avion :
C’est faux car ce sont des machines très différentes qui ne se pilotent pas du tout pareil.
Mais c’est vrai dans une certaine mesure parce que ça vous dégage de toute une partie d’apprentissage théorique et pratique non négligeable et ça réduit le nombre d’heures réglementaires pour passer votre licence si vous avez la licence de pilote d’avion.
Mon conseil, est de faire ce dont vous avez envie. Si vous tendez l’oreille quand un avion passe mais que vous vous précipitez à la fenêtre quand vous entendez un hélico, suivez votre cœur. L’hélico va vous passionner.
Au club, ce que l’on peut vous promettre, c’est qu’une fois que vous aurez goûté à la 3è dimension, vous ne penserez qu’à y retourner.
Il faut passer la licence de pilote privé pour pouvoir voler en hélicoptère :
Eh bien non. On peut tout à fait apprendre à piloter et ne pas passer la licence. Pour tout un tas de raisons. Cela reste votre choix. Si vous n’avez pas la licence ou tant que vous ne l’avez pas, vous volerez en double commande avec l’instructeur présent.
Pour voler en solo et pouvoir emmener des passagers, vous devrez être titulaire de la licence de pilote et pour cela être déclaré(e) apte par un médecin agréé par l’aviation civile. Sachez que l’agrément doit être renouvelé à intervalle régulier, cela dépend de votre âge, et que si vous perdez l’agrément, vous ne pourrez plus piloter en solo.
Piloter un hélico est réservé aux forts en maths :
On ne vous le cachera pas, une formation scientifique, ça aide. En même temps, si seules les personnes ayant une formation scientifique pouvaient piloter, ça se saurait !
Les maths rapportées à l’hélico pourraient bien vous apparaître sous un jour nouveau. Et pourquoi pas, peut-être, vous découvrirez-vous-même une vocation !
Pour piloter, il faut parler anglais couramment :
En principe, il faut connaître la langue du manuel de vol de la machine sur laquelle vous volez. Ce n’est donc pas uniquement l’anglais.
Mais oui, il est préférable de bien pratiquer l’anglais.
De 7 à 77 ans peut être, mais, c’est surtout réservé aux jeunes
Si vous pensez ‘mémoire’, effectivement, plus on est jeune, meilleure sont les capacités de mémorisation. Avoir une bonne mémoire est un atout pour les QCM des épreuves théoriques qui sont chronométrés et pour le pilotage car beaucoup de choses sont à apprendre.
Mais la bonne nouvelle, c’est que la mémoire est un muscle et que plus vous la faites travailler, plus vous l’entretenez.
Donc avec le pilotage, je vous le garantis, vous entretenez bien votre capital mémoire.
L’hélico, pour développer ses facultés de coordination n’a pas non plus son pareil.
Donc, votre âge importe peu. Tout tient dans votre motivation.
Le vol en hélicoptère est plus cher qu’un vol en avion :
C’est exact. Un vol en hélicoptère est au moins deux fois plus cher qu’un vol en avion. Mais tout est relatif, un vol sur hélicoptère à turbine étant au moins deux fois plus cher qu’un vol sur hélicoptère à piston.
Il y a plus de pilotes hommes que de pilotes femmes et plus de pilotes d’avion que de pilotes d’hélicoptère :
C’est tout à fait vrai. L’avion est d’une pratique plus courante. Et il y a bien plus de clubs qui proposent cette activité.
C’est donc déjà un frein que de trouver un club d’hélico pas trop éloigné de son domicile.
Un autre frein vient sans doute du regard que l’on porte sur l’hélicoptère. L’hélicoptère n’est pas un appareil de tourisme mais de travail, genre, pour se poser dans des endroits inaccessibles ou procéder à des sauvetages. En faire une activité de loisir est moins évident que pour l’avion.
Mais ne vous trompez pas, le pilotage, s’il attire proportionnellement plus d’hommes, attire aussi bien des femmes.
L’apprentissage prend du temps :
En théorie, on peut apprendre à piloter en un an, mais en pratique, ce sera difficile. Il y a des interruptions techniques, des jours où la météo ne s’y prête pas, vos indisponibilités ou celles de l’instructeur.
Au-delà de la durée réglementaire pour passer la licence, vous devrez conforter votre aptitude au pilotage jusqu’à ce que vous soyez considéré(e) comme pouvant voler en solo et vous pourrez vous présenter à l’examen pour la licence quand vous serez déclaré(e) fin prêt(e).
Il faut de la ténacité et la régularité dans l’apprentissage est un atout majeur.
Vous avez d’autres questions ? n’hésitez pas à nous contacter via la fiche Contact et si vous voulez être rappelé(e), précisez vos coordonnées téléphoniques. Nous vous rappellerons.
A très vite